Exercice de sécurité civile sur le site de CEREXAGRI à Bassens

Mis à jour le 12/12/2022
Télécharger Exercice sécurité civile CEREXAGRI Bassens PDF - 0,05 Mb - 17/11/2022

La préfecture de la Gironde organise un exercice de sécurité civile sur l’usine CEREXAGRI de Bassens le mercredi 30 novembre dans la matinée, en partenariat avec les services municipaux (élus et police municipale), les services de secours (SDIS) et de sécurité publique (DDSP), l'inspection des installations classées (DREAL), l’autorité sanitaire (ARS), les gestionnaires routier (Bordeaux-Métropole) et ferroviaire (SNCF) et l'exploitant du site.

Cet exercice vise à tester le plan particulier d'intervention (PPI) de cet établissement classé SEVESO Seuil haut ainsi que la réactivité et la coordination des services potentiellement mobilisés en cas de crise.

A l’occasion de cet exercice, le nouveau système national d’alerte et d’information FR-Alert sera testé auprès des populations se trouvant à proximité immédiate du site. Ce dispositif, testé pour la première fois en exercice en Gironde,permet de prévenir toute personne munie d’un smartphone, de sa présence dans une zone de danger en lui indiquant les comportements à adopter. Cet outil est complémentaire aux systèmes d’alerte existants (sirènes, messages d’alerte et d’information à la radio, sur les comptes institutionnels sur les réseaux sociaux…).

Les personnes situées dans un rayon approximatif de 200 mètres autour du site CEREXAGRI de Bassens au moment de l’exercice, recevront une notification accompagnée d’un signal sonore spécifique, même si le téléphone portable est en mode silencieux. Cette notification ne nécessitera ni réponse ni comportement particulier de mise à l’abri de leur part, même si la consigne de sécurité adaptée à l’événement fictif en cours sera clairement spécifiée. La mention « exercice » sera explicitement indiquée dans la notification reçue sur les téléphones portables.

Pour des questions de sécurité et afin de ne pas perturber l’intervention des services de secours, il est demandé à la presse de ne pas se rendre sur le lieu de l’exercice.